A ce jour, les robots qui se sont posés sur Mars n’y ont pas trouvé de preuve de présence de vie.

16 octobre 2016. La sonde européenne TGO largue le robot atterrisseur Schiaparelli vers la planète Mars. © ESA, ATG Medialab
Mais les scientifiques de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) repartent à la conquête de Mars avec l’intention d’apporter quelques réponses à cette importante question.
Lundi prochain, 14 mars, leur sonde spatiale européenne TGO (Trace Gas Orbiter) et son robot démonstrateur d’atterrissage Schiaparelli s’envoleront pour la Planète rouge à bord d’une fusée russe lancée depuis la base de Baïkonour, au Kazakhstan.
Cette mission, baptisée ExoMars a deux objectifs:
-prouver que les Européens peuvent faire aussi bien que les américains en posant un robot à la surface de Mars.
-permettre de savoir si la vie est apparue ou non, sur la Planète rouge.
Dans 7 mois, la sonde et son robot arriveront à destination.
Le 16 octobre la sonde éjectera alors le robot démonstrateur d’atterrissage Schiaparelli.
Le 19 octobre, si tout se passe bien, Schiaparelli se posera sur le sol martien.
Les scientifiques étudieront avec beaucoup d’attention toute sa phase de descente à travers l’atmosphère martienne et son contact avec le sol.
Ces renseignements serviront à préparer la mission ExoMars 2018 dont le robot atterrisseur travaillera alors sur la Planète rouge en recueillant des échantillons du sol qu’il analysera avec ses instruments.
Dernière minute
Le lancement de la mission ExoMars s’est bien déroulée ce lundi 14 mars. Le vaisseau spatial TGO et son robot Schiaparelli ont été parfaitement mis en orbite par la fusée russe depuis la base de Baïkonour, au Kazakhstan . Ils sont actuellement en route pour la Planète rouge. MB
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